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Usine de préparation de produit minéral dite Manufacture de porcelaine de la Seynie, puis de la Reine, actuellement dépôt-vente et usine de porcelaine Larédy.
France > Nouvelle-Aquitaine > Haute-Vienne > Saint-Yrieix-la-Perche

Bâtiment de la manufacture, étage.
Grollimund Florian
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Parc naturel régional Périgord-Limousin

Extrait du plan cadastral de Saint-Yrieix-la-Perche, section G 1, parcelles 85-88, 1824.
Archives départementale de la Haute-Vienne
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Parc naturel régional Périgord-Limousin, (c) Archives départementales de la Haute-Vienne

Extrait du plan cadastral rénové de Saint-Yrieix-la-Perche, section YW, parcelle 27, 1972.
Archives départementale de la Haute-Vienne
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Parc naturel régional Périgord-Limousin, (c) Archives départementales de la Haute-Vienne

Plan de la maniufacture de porcelaine de La Seynie, d'après un plan vers 1775 reproduit dans Chavagnac (1906).
Grollimund Florian
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Parc naturel régional Périgord-Limousin, (c) Gallica.Bnf

Projet d'installation d'un casernement à la manufacture de la Seynie, plan du rez-de-chaussée, 1899.
Grollimund Florian
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Parc naturel régional Périgord-Limousin, (c) Archives départementales de la Haute-Vienne

Projet d'installation d'un casernement à la manufacture de la Seynie, plan du 1er étage, 1899.
Grollimund Florian
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Parc naturel régional Périgord-Limousin, (c) Archives départementales de la Haute-Vienne

L'ancien château et bâtiment de la manufacture, cour et escalier, photographie vers 1950.
Grollimund Florian
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Parc naturel régional Périgord-Limousin

L'ancien atelier de la manufacture, partie est (modifiée), photographie vers 1950.
Grollimund Florian
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Parc naturel régional Périgord-Limousin, (c) Archives municipales, Saint-Yrieix-la-Perche

L'ancien château et bâtiment de la manufacture, cour et aile ouest, photographie vers 1950.
Grollimund Florian
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Parc naturel régional Périgord-Limousin, (c) Archives municipales, Saint-Yrieix-la-Perche

L'ancien château et bâtiment de la manufacture, aile est (détruite), photographie vers 1950.
Grollimund Florian
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Parc naturel régional Périgord-Limousin, (c) Archives municipales, Saint-Yrieix-la-Perche

Vue aérienne du site de la Seynie après les premiers travaux d'agrandissements, vers 1955.
Grollimund Florian
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Parc naturel régional Périgord-Limousin

Photographie aérienne du site de La Seynie, 1948 (IGN).
Grollimund Florian
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Parc naturel régional Périgord-Limousin, (c) Institut géographique national, Saint-Mandé

Dessin des campagnes de construction (18e-20e siècles) sur fond de photographie aérienne de 2019 (Google).
Grollimund Florian
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Parc naturel régional Périgord-Limousin

Vue d'ensemble du site, depuis le sud.
Rivière Philippe
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Parc naturel régional Périgord-Limousin

Vue d'ensemble des bâtiments modernes, depuis le sud.
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(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Parc naturel régional Périgord-Limousin

Bâtiment de la manufacture, façade nord.
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(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Parc naturel régional Périgord-Limousin

Bâtiment de la manufacture, façade nord.
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Bâtiment de la manufacture, bâtiment des années 1950 et aile ouest.
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(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Parc naturel régional Périgord-Limousin

Bâtiment de la manufacture, aile ouest : détail d'une baie.
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Bâtiment de la manufacture, bâtiment des années 1950, vue depuis le sud.
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(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Parc naturel régional Périgord-Limousin

Bâtiment de la manufacture, bâtiment des années 1950 et ancienne aile est.
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Ateliers ouest.
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(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Parc naturel régional Périgord-Limousin

Grands ateliers est, façade nord.
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Bâtiment des fours à gaz.
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(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Parc naturel régional Périgord-Limousin

Grands ateliers et dépendances, vue depuis l'est.
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(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Parc naturel régional Périgord-Limousin

Grands ateliers et dépendances, vue depuis l'est.
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(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Parc naturel régional Périgord-Limousin

Grands ateliers, façade sud.
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Grands ateliers, annexes au sud.
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Ancienne entrée ouest de la manufacture.
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(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Parc naturel régional Périgord-Limousin

Ancienne entrée ouest de la manufacture et maison ouvirère (?).
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(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Parc naturel régional Périgord-Limousin

Maison ouvirère (?).
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Hangars et ateliers.
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Anciennes annexes (?) de la manufacture, vue depuis le sud.
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Anciennes annexes (?) de la manufacture, vue depuis le nord.
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Usine PIL (Porcelaines Industrielles du Limousin) des années 1970, façade nord.
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Usine PIL (Porcelaines Industrielles du Limousin) des années 1970, façade nord, détail.
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Usine PIL (Porcelaines Industrielles du Limousin) des années 1970, pignons ouest.
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Hangars et ateliers, façades nord.
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Bâtiment des années 1990, partie bureaux.
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Bâtiment de la manufacture, entrée de la cave est.
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Bâtiment de la manufacture, cave est : malaxeur à kaolin.
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Bâtiment de la manufacture, cave est : malaxeur à kaolin.
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Bâtiment de la manufacture, cave est.
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Bâtiment de la manufacture, cave est : emplacements des malaxeurs (?).
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Bâtiment de la manufacture, rez-de-chaussée : malaxeur.
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Bâtiment de la manufacture, rez-de-chaussée : malaxeur.
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Bâtiment de la manufacture, entrée de la cave est.
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Bâtiment de la manufacture, cave est : voûte.
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Bâtiment de la manufacture, cave est : cuve à fioul.
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Bâtiment de la manufacture, étage : porte d'accès à l'ancien escalier de la cour.
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Bâtiment de la manufacture, étage.
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Bâtiment de la manufacture, étage : détail des baies et renvois de courroie.
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Bâtiment de la manufacture, étage : anciens séchoirs.
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Bâtiment de la manufacture, étage : anciens séchoirs, vue intérieure.
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Bâtiment de la manufacture, étage : vestige d'ancien four (?).
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Bâtiment de la manufacture, chaprente et pignon ouest.
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Bâtiment de la manufacture, charpente.
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Bâtiment de la manufacture, charpente.
Grollimund Florian
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Bâtiment de la manufacture, charpente : détail de marquage d'une ferme.
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Bâtiment de la manufacture, aile est : rayonnages.
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Bâtiment de la manufacture, aile est : fenêtre.
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Bâtiment de la manufacture, aile est : fenêtre.
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Bâtiment de la manufacture, aile est : fenêtre.
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Bâtiment de la manufacture, aile est : fenêtre, détail du système d'ouverture.
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Bâtiment des années 1950 : dépôt.
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Bâtiment des fours à gaz.
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Four à gaz.
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(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Parc naturel régional Périgord-Limousin

Four à gaz.
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(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Parc naturel régional Périgord-Limousin

Four à gaz, plaque de constructeur.
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Annexe, charpente : rayonnages.
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Grands ateliers : rez-de-chaussée.
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Grands ateliers : rez-de-chaussée.
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Grands ateliers : rez-de-chaussée, escalier.
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Grands ateliers : étage.
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Grands ateliers : comble.
Grollimund Florian
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Grands ateliers : mur de refend du comble, oculus.
Grollimund Florian
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Bâtiment des fours à gaz : monte-charge.
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Bâtiment des fours à gaz : monte-charge.
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Bâtiment des fours à gaz : monte-charge, détail de la plaque.
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Annexe, rayonnages.
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Caisse PIL.
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Hangars et ateliers nord, rayonnages.
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Atelier d'art.
Rivière Philippe
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Atelier d'art.
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(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Parc naturel régional Périgord-Limousin

Atelier d'art, four à gaz.
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Atelier d'art, rayonnages.
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Atelier d'art, malaxeur.
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Atelier d'art, rayonnages.
Rivière Philippe
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Atelier d'art, rayonnages.
Rivière Philippe
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Atelier d'art, démoulage d'un biscuit.
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(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Parc naturel régional Périgord-Limousin
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Titre : Usine de préparation de produit minéral dite Manufacture de porcelaine de la Seynie, puis de la Reine, actuellement dépôt-vente et usine de porcelaine Larédy.
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Période : 3e quart 18e siècle , 3e quart 20e siècle , 4e quart 20e siècle
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Localisation : Haute-Vienne , Saint-Yrieix-la-Perche
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Type de dossier : Dossier d'oeuvre architecture
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Aire d'étude : Parc naturel régional Périgord-Limousin
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Phase du dossier : étudié
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Date d'enquête : 2018
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Auteur du dossier : Grollimund Florian , Decoux Jérôme
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Copyright : (c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Parc naturel régional Périgord-Limousin
Historique
En 1774, Jean-Baptiste du Garreau, associé à Louis-Augustin du Garreau de Grésignac et au marquis de Beaupoil Saint-Aulaire, obtient l'autorisation de bâtir la manufacture de La Seynie. Selon le procès-verbal de visite en 1776, "les bâtiments, fours et ateliers de cette manufacture occupent tout l'ancien château de la Seinie [...] qu'ils sont construits à neuf dans une bonne température et une belle exposition [...]". Le plan d'ensemble correspond aux modèles des manufactures de Sèvres et de Saxe La manufacture se calque sur le plan en U de l'ancien château. L'aile ouest où sont installés les ateliers, est probablement rattachée à la manufacture dans les années suivantes. .En 1792, un incendie détruit une partie du four circulaire et du bâtiment qui l'abrite.
Au début du 19e siècle, la manufacture est agrandie de nouveaux ateliers à l'ouest après son acquisition par Auguste-Dominique Denuelle, directeur de la manufacture de porcelaine rue de Crussol à Paris. Dans la seconde moitié du 20e siècle, des bâtiments sont ajoutés au nord afin d'accueillir plusieurs fours à cellules ; ils sont toujours en place. Au cours des années 1970, une nouvelle usine est construite. Au cours des années 1990 une extension contemporaine est réalisée, pour accueillir les bureaux et un espace de stockage. Vers 2010, les anciens bâtiments de la manufacture ont été divisés : une partie accueille un dépôt-vente ; l'autre demeure la propriété de la société Larédy qui y a installé des espaces de vente et d’entrepôt.
Détail de l'historique
Périodes |
Principale : 3e quart 18e siècle Secondaire : 3e quart 20e siècle Principale : 4e quart 20e siècle |
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Dates |
1774, daté par source |
Description
L'ancienne manufacture royale de la Seynie se situe au sud-est du bourg de Saint-Yrieix-la-Perche.
L'ensemble se compose de deux unités distinctes :
- l'ancien château, de plan en U, remanié en manufacture et ses extensions ouest ;
- l'usine moderne bâtie au sud, en charpente métallique.
L'ancienne manufacture conserve un corps de logis auquel on accède, côté sud, par un escalier double à volée droite menant à un avant-corps en pignon en façade à et fronton triangulaire. Ce dernier a été occulté par un bâtiment à larges baies en béton. Au nord, le logis est bâti sur deux caves voûtées et enduites, dont une conserve une cuve à malaxer, l'autre une cuve à fioul. Au rez-de-chaussée, des ouvertures en béton ont été percées, une porte en arc segmentaire donne accès à un vaste espace refendu. L'étage est éclairé par 15 baies en arc segmentaire dont certaines conservent des menuiseries à petits bois ; une porte percée côté sud donnait accès à l'ancien escalier double de la cour. Le dernier niveau est réservé au stockage et divisé dans la longueur par 10 poteaux soutenant le sous-faîtage et les poinçons de la charpente. Cette dernière, en chêne, est assez remarquable par le rapprochement des chevrons portant-ferme et leur marquage au ciseau (numérotation continue).
L'aile ouest a été remplacée par un bâtiment en parpaing-ciment, comme le bâtiment en fond de cour, le tout sur trois niveaux.
Dans le prolongement, à l'ouest se trouvent les anciens ateliers sur deux niveaux à 16 travées. Les sols en plancher bois, les escaliers et poteaux de bois d'origine, ainsi qu'une partie des charpentes sont conservés. L'ensemble est divisé par deux murs de refend qui ont conservé pour partie des ouvertures en brique demi-lune, murées. Accolé au nord, un bâtiment en parpaing abrite quatre fours à cellule de marque Dupeux à Limoges. Plus à l'ouest. Près du portail d'entrée en fer accosté de deux piliers se trouve ce qui pourrait être la maison de contremaître.
Au nord, les anciens ateliers et espaces de stockages (hangar) sont aujourd'hui utilisés par l'association le FIL.
Au sud s'articulent l'ensemble des bâtiments industriels actuels en tôle et charpente métallique, ainsi que les bureaux et espaces de stockage (bardage bois en façade sud).
Détail de la description
Murs |
|
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Toits |
|
Plans |
plan régulier en U, plan rectangulaire régulier |
Étages |
1 étage carré, comble à surcroît |
Élévations extérieures |
élévation ordonnancée |
Couvertures |
|
Escaliers |
|
Énergies |
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Informations complémentaires
Type de dossier |
Dossier d'oeuvre architecture |
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Référence du dossier |
IA87010637 |
Dossier réalisé par |
Grollimund Florian
Chercheur communauté de communes Médoc-Estuaire (2013-2015). Chercheur PNR Périgord-Limousin (2016-2020). Decoux Jérôme chargé du patrimoine industriel au service de l'inventaire du patrimoine, région Limousin (2012-2015) puis Nouvelle-Aquitaine (depuis 2016) |
Cadre d'étude |
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Aire d'étude |
Parc naturel régional Périgord-Limousin |
Phase |
étudié |
Date d'enquête |
2018 |
Copyrights |
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Parc naturel régional Périgord-Limousin |
Citer ce contenu |
Usine de préparation de produit minéral dite Manufacture de porcelaine de la Seynie, puis de la Reine, actuellement dépôt-vente et usine de porcelaine Larédy., Dossier réalisé par Grollimund Florian, (c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Parc naturel régional Périgord-Limousin, https://www.patrimoine-nouvelle-aquitaine.fr/Default/doc/Dossier/83c3f658-8245-4eaa-83ee-24b611d83526 |
Titre courant |
Usine de préparation de produit minéral dite Manufacture de porcelaine de la Seynie, puis de la Reine, actuellement dépôt-vente et usine de porcelaine Larédy. |
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Dénomination |
usine de préparation de produit minéral |
Appellation |
La Seynie |
Parties constituantes non étudiées |
hangar industriel remise |
Statut |
|
---|---|
Intérêt |
|
Documents d'archives
Documents concernant la manufacture de la Seynie (18e siècle)
Lieu de conservation : Archives départementales de la Haute-Vienne, Limoges
Côte : 1 Q 205
ISBD/Commentaire :
Documents concernant la manufacture de la Seynie : procès-verbal, recueil de correspondances, saisies (1776-1802).
Plan de la manufacture de la Seynie (1899)
Lieu de conservation : Archives départementales de la Haute-Vienne, Limoges
Côte : 10 J 80
ISBD/Commentaire :
Projets d'installation d'un casernement sur la commune de Saint-Yrieix-la-Perche, plan de la Seynie et rapports, 1898-1899.
Périodiques
Documents pour servir à l'histoire de l'industrie et des manufactures en Limousin (1894)
Mention : p. 471-476
Lieu de conservation : Bibliothèque nationale de France, Paris
Côte : NUMP-3504
ISBD/Commentaire :
FRAY-FOURNIER A. Documents pour servir à l'histoire de l'industrie et des manufactures en Limousin. Société historique et archéologique du Limousin, 1894, t. 41, 1ère livraison, p. 463-487.
Bibliographie
CHAVAGNAC Histoire des manufactures françaises de porcelaine (1906)
Lieu de conservation : Bibliothèque nationale de France, Paris
Côte : NUMM-6115049
ISBD/Commentaire :
CHAVAGNAC Xavier (Comte de). Histoire des manufactures françaises de porcelaine, Picard et Fils, Paris : 1906.
Anne-Marie Cocula, Château et innovation (2000)
Mention : p. 65-87
Lieu de conservation : Centre de documentation du patrimoine, service de l'Inventaire et du Patrimoine culturel, Limoges
Côte : non coté
ISBD/Commentaire :
BAURY Roger. "Du château à la manufacture : le rêve de porcelaine de trois gentilshommes limousins à la fin de l'Ancien Régime", sous la direction de COCULA Anne-Marie et DOM Anne-Marie, dans Château et Innovation : Actes des rencontres d'archéologie et d'histoire en Périgord, les 24,25 et 26 septembre 1999, Ausonius, Bordeaux : 2000.
Annexes
Correspondances concernant la manufacture de la Seynie durant l'année 1776
Grand livre des correspondances touchant aux affaires de la manufacture pour l'année 1776
« Soit commencé le présent livre pour servir à l’uzage de la manufacture de la Senie l’année 1776.
[en marge : Charles-François Martin à Paris]
Saint-Yrieix le 3 juin 1776
Mr la réponse a l’honneur de la vôtre du 21 du courant, je vous envoie une procuration signée de mes ouvriers et de moy, qui vous autorize à terminer touts les marchés qui se présenteront, pour la fourniture des pâtes et couvertes propres à la porcelaine, avec touts les propriétaires des manufactures de Paris et autres lieux, nous acceptons la manière de traiter de la fabrique du faubourg Saint Denis et nous prêterons à tout ce qui peut facilliter les acquéreurs pourvu qu’ils nous soient dous et solvables, ce à quoy il faut avoir grande attention, nous serons en état de remplir touts les engagements que vous pourez prendre à l’avenir, pour les pâtes et couvertes, néanmoins je vous préviens d’user de précautions pour les prochaines livraisons, c’est-à-dire de ne vous engager vis-à-vis d’un chacun, si le nombre des demandeurs devenoit considérable à ne leur livrer tout à l’heure que deux ou 3 tonnes pour nous donner le temps de faire face à touts les traittés que vous pouriez faire, quant à la manufacture du faubourg Saint Denis, nous allons vous expédier les 3 tonnes qu’elle demande et successivement toute celle dont elle aura besoin, aussi des autres pourvû que ce ne soit pas tout à la fois par ce que celles dont [cinq mots effacés] longue préparation, je ne doute pas d’apprès les épreuves que nous avons faits des pâtes et couvertes qu’on en soit très content, néanmoins si ceux qui en feront uzage avoints quelques observations à faire, on se conformeroint à leurs désirs.Nous vous ferons passer incessamment une caisse de porcelaine en blanc assortie et même peinte si cella est possible, cet objet et celluy des pâtes et couvertes, sont susceptibles d’un très grand profit sur lequel nous vous assurons cinq pour cent de bénéfice, il est donc de votre intérêt autant que du nôtre de l’étendre le plus qu’il sera possible, il faudroit donc en conséquence tâcher de traitter avec les sieurs Julien et Jacque du Bourg la Raine, avec le sieur Glad ? du Leau du Mene, le sieur Penaud de Chantilly, le sieur Provigné du Gros Calliou, et avec ceux de celle de Vincienne, et tâchés aussi de trouver quelques débouché pour l’Angleterre et les États du nord, soit pour les pâtes, ou la porcelaine.J’ay l’honneur d’être très parfaitement, monsieur, votre très humble serviteur.Signé Beaupoil Saint Aulaire.
[en marge : M. Joachin Brisme à Montpellier]
De la manufacture de la Senie, le 2 juillet 1776
Mr. Comme par des arrangements, je viens de prendre sous ma direction la manufacture de porcelaine de la Senie, et qu’ayant examiné les affaires qui s’y sont cy devant faittes, j’ay trouvé que Mr. De La Senie vous avoit cy devant expedié deux tonnes terre de porcelaine contenant ensemble mil 26 quintaux de la susditte terre, et ce à l’adresse de Mr. Jacque de Mer, négociant aux Chartrons à Bordeaux, Mr. De La Senie vous en a donné pris ? et facture dans le temps, à vous dire vrais, j’étois aussi surpris qu’étonné de ce que vous ne luy aviez pas encore accuzé la réception de cet envoi mais j’ay découvert depuis peu d’où vient votre scilence, et que vous _ encore à recevoir la ditte terre, comme ces deux tonnes vos ont été expédié par la voie de Cubas, j’ay appris avec mortification qu’elles ne sont parties du dit lieu que du _ du passé ; n’attribuez néanmoins, monsieur, le retardement qu’à la friponnerie de certains quidam de ce pays qui, jaloux de la moindre choze, ont eü la matière de corrompre le comissionnaire à qui étoit adressées ces terres à Cubas. En les faisant retarder, j’ay même appris ce dont je me suis assuré du depuis, que deux différants particuliers de cette ville vous en ont expédié en même temps, ce que je vous prie de me dire en m’accusant réception des deux que vous a expédié monsieur de La Senie, vous prévenant qu’à l’avenir, vous aurez pour agréable de vous conformer à l’adressé cy bas. Si apprès avoir éprouvé cette terre il vous en faut d’autre, j’ay lieu de croire que de préférance vous voudrez bien m’honorer de vos ordres, vu que je suis mieux à même que qui que ce soit de ce pays, de les exécuter en touts points.S’il vous falloit des pâtes prêtes à ouvrer avec la couverte de porcelaine aussi toute prête, ainsi que des pâtes à figurer en biscuits, je vous en fournirait avec plaisir et au plus bas prix qu’il me sera possible, sentant très bien qu’il faut que vous y trouviez votre compte, j’ay lieu de croire que, d’apprès les épreuves qui en ont été faites que vous en serez très satisfait, un envoi vous en convaincra, j’attends votre réponse et vous prie de me croire bien sincèrement.
[en marge : Mr. Dinnematin d’Essalles à Limoges Numéros Ier 4 C. F. M.]
Du 18 juilliet 1776
Mr. à la garde de dieu et conduitte d’Antoine Lagarenne et son commarade, touts deux du village de Laborde paroisse de La Meyze, vous recevrez que j’ay chargé sur leurs charrette trois barriques et un baril terre brutte, marquées et numérotées comme cy contre, lesquelles ayant reçues bien et duement conditionnées la leur ayant remise de même il vous plaira leur payer pour leur voiture, scavoir à Antoine Lagerenne dix livres et à son camarade onze livrezs et suis monsieur ».[en marge : lettre au même à Limoges]« Mr. sur l’offre gratieuse que vous avez faitte à ma mère, et suivant sa lettre du 15 dernier, de recevoir divers objets que j’aurois à faire passer par votre ville pour faire parvenir à leurs destinations, j’ay ce jour pris la liberté de vous adresser 3 barriques et un baril contenant terres à potiers dont vous trouverez le poeds cy aprrès. Lesquelles je vous prie expédier par la plus prompte voie et au mallieur compte de voiture possible à Mr. Charle-François Martin metre appoticaire à Paris, en feuzant suivre vos débourcés, et spécifierez sur votre lettre de voiture que le susdit sieur les gardera à ma disposition ; faittes en sorte que ces barriques ne se déchargent pas, qu’à Paris pour éviter les droits de comission ; j’espère et puis que votre générosité s’étend jusque à ne vouloir pas exiger de comission, j’espère par allieurs vous en décourager, donnez moy je vous prie avis du jour de leur départ, combien vous avez donné de voiture au rouilleur que vous avez chargé, et enfin combien vous luy avez accordé de temps le tout pour ma gouverne, ce qu’attendant j’ay l’honneur d’être…
[en marge : Mr. Peterinck directeur de la manufactture royalle et impérialle de Tournai en Flandre]
Du 28 juillet 1776
Mr. je vous fais passer de quoy faire des essais des pâtes et couvertes de porcelaines que je vous avois propozé par ma lettre du 4 may passé, avec qu’un échantillion de matières bruttes, je suis persuadé monsieur que quand vous en aurez reconnu les bontés vous ne voudrez plus employer que de celle-là ; si comme je le crois vous en êtes content, je vous prie de me le mander, et d’être persuadé que je serais charmé de vous voir chez moy, et de pouvoir traitter avec vous, j’ay l’honneur d’être très parfaitement.
[en marge : au même]
« Du même jour
Prix des couvertes et pâtes
Terre brutte 05 £ le %
Terre brutte 05 £ le % pet
Paste 25 £ le%
Couverte 30 £ le%
Paste à figurer 40 £ le%
[en marge : Mr. Gaboret à Angoulême]
Du 28 juilliet 1776
Mr. j’ay sous les yeux l’honneur de votre lettre du 19 dernier et y réponds, pas que vous m’assurez si fort de me faire déboucher des terres, pâtes et couvertes ou glassures de porcelaine. Conformément à vos vuës, j’ay fait emballer pour vous expédier le plutôt possible une barrique contenant net 855 £ terre brutte propre à la porcelaine, et une caisse contenant paste et couverte de porcelaine, et un échantillion de paste à figurer en baril portant et le même sa couverte glassure, vous pouvez assurer ceux à qui vous ferez passez l’un et l’autre, du succès le plus heureux, et je défie Mr. Grellet d’aller à Paris ? pour la qualité de ces articles ; le dit sieur n’étant pas sur le lieu achapte de çà et de là, et expédie tant bon que mauvais ; mais ce que je vous envoie, et dont nous vous servons journellement est du beau et du bon en expérience en convaincra, et j’espère qu’à l’avenir l’on prendra de préférance de moy étant à même d’en fournir telle quantité que l’on voudra tant en pâtes couvertes, que terre dont vous verrez cy apprès les prix qui, m’a-t-on dit, étoient de moitiez à meilleur compte que ceux du sieur G. Ainsi je ne doute pas que ceux seul me fasse donner la préférance.J’aurois besoin tout à l’heure de balettes ? de plastre mais je ne voudrois y metre 12 £ au mallieur pour Angoulême et je voudrois ne payer de voiture jusqu’à Limoges qu’au prix aller 45 S du_ je pense même qu’à Lius ? l’on obtiendra facillement la voiture si à ce prix vous pouvez m’en faire paier de suite 4£ à l’adresse de ma mère faubourg Marigne, vous m’obligerez il faudroit me le dire promptement.Je vous ferais pour sous peu les échantillons de mes boittes, vous pouvez y compter.
[en marge : Mr. Adredier au Gros Calliou à Paris, faisant pour Mr. le marquis de Magnaiville. 1 par Mr. de La Senie qui a datté par erreur du 3 aoust ]
Du 28 juillet
Monsieur, il m’est revenu que Mr. de Provigny qui avoit enciennement établi au Gros Calliou une manufacture de porcelaine sous la direction de Mr. Brayer, et qu’il avoit été fabriqué dans cette manufacture une quantité considérable de pièces sur lesquelles il n’a pas été possible d’appliquer aucune couverte, la même personne m’a dit que cette manufacture étoit aujourdhuy entre les mains de Mr. de Magnaville et que vous en étiez le directeur.Comme je suis assuré qu’il a été appliqué une couverte sur quelqunes des pièces de cette porcelaine et que je suis sûr de pouvoir en appliquer sur toutes, je vous offre monsieur d’en faire l’épreuve si vous voulez avoir la complaisance de m’en faire passer quelques pièces, vous le marquerez d’une marque, qui vous sera propre, affin de vous assurer qu’elles n’auront point été changée. Si même la longeur du voyage ne vous effrayoit point, je vous offre de faire cette expériance devant vous, et lors qu’elle sera faitte, de vous livrer la quantité de couverte dont vous aurez bezoin pour tout le biscuit que vous avez, si même vous voulez faire de la porcelainne dure, je vous fourniroy les pâtes et couvertes ou matériaux pour la faire, dont vous aurez besoin, aussi de la pâte de figure qui donnera naturellement aux ouvrages de cette espèce que vous ferez un coup d’œuil que les autres pâtes ne peuvent luy donner.
[en marge : Monsieur Joachin Price, fabricant en porcelaine à Montpellier]
« Lettre écrite _ au del_ le 28 décembre 1776 et rep. le 28 juillet 1776
Monsieur j’ay l’honneur de vous donner avis que j’ay fait partir aujourdhui deux tonnes de terre que j’ay adressées suivant votre intention à Mr. Jacque de Mer, négociant aux Chartrons à Bordeaux, les deux tonnes pezant deux mil six cent dont il faudra defalquer 200 pour le poid des tonnes, restera net pable de terre 2400, nous n’avons pü pour le présent vous procurer de tours ? plus petites, ce qui fait que vous recevrez 400 £ de terre de plus que vous n’avez fait pour cet inconvéniant, mais vous n’y aurez pas de regret la terre est très sèche et n’éprouverez point de déchet ce qu’avec la meilleure volonté du monde, je ne peut pas vous promettre pour l’_ d’ailleurs la qualité en est si bonne que lors que vous l’aurez éprouvés vous nous en remercierez. Vous trouverez les tonnes un peu chères, j’espère à l’avenir m’en procurer à mellieur marché, les mauvais temps qu’il a fait dans ce pays ont retardé notre envi, et aussi renchéri le port. Il en coûtera
jusqu’à Cuba 268
pour les deux tonnes 108 et
24 quintaux de terre pble à 5£ le% 1208
Depuis Cubas jusqu’au port, la notte m’en reviendra et lorsque je l’aurais acquitée, je vous la ferai passer. Je vous manderais en même temps quels sont les fraix de transport de Saint-Yrieix à Clermont-Ferrand je vous indiquerais aussi allors par quelle voix je pourais recevoir la somme à laquelle le tout se montera, vous voudrez bien lorsque vous aurez besoin de quelque autre envois, adressez vos lettres à Mr. de Lassenie, capitaine de cavalerie en son château de La Senie de la Senie près Saint-Yrieix-la-Perche en Limousin et non à Mr. Relhac qui n’est plus commis de ce détail vous pensez bien que lorsque nous vous avons mandé le prix de notre terre nous l’avons mis au plus bas prix affin que vous fussiez convaincu de notre bonne foy et assuré que nous dézirons vous faire trouver des avantages réels dans les fournitures que nous vous ferons ».
[en marge : Mr. Jacques de Mer à Angoulême]
Du 28 juillet 1776
Mr. j’ay l’honneur de vous faire passer suivant l’ordre de que j’ay rien de monsieur Joachim Price de Montpellier deux tonnes de terre autrement ditte kaolin, vous voudrez bien aux plustôt les dittes deux tonnes au dit sieur m’en accuser la réception.Si quelqu’un de vos amits ou correspondant feroit le négoce de ces terres et toutes autres qui entrent dans la porcelaine neuve des pâtes et couvertes toutes composées vous me ferez plaisir de me les adresser vous pourrez vous procurer des avantages personnels dans une pareille correspondance.
[en marge : Mr. Jacques de Mer à Bordeaux]
Du 29 juillet 1776
Mr., ayant pris sous ma direction depuis environ deux mois la manufacture de porcelaine de Mr. de La Seinie, j’ay trouvé sur les livres et états que l’on m’a remis un envoi de 24 quintaux de terre brutte ou kaolin propre à faire la porcelaine, qui a été fait pour le compte de Mr. Joachim Price entrepreneur de porcelaine à Montpellier et qui vous a été adressé par ordre de ce dernier par la voie de Cubas, comme je suis sans aucunne nouvelle de cet envois et que j’ignore si vous l’avez expédié à sa destination, je vous prie m’en instruire en réponse, j’ay écris au sieur Price le 2 dernier et n’ay en aucunne de ses nouvelles, je sceais que cet envois à beaucoup retardé par la négligence de celluy à qui l’on l’avoit adressé à Cubat, ce qui n’arriveroit pas à l’avenir si vous avez en quelques nouvelles du sieur Price, veuillez m’en dire quelque chose.Ce qu’attendant je vous prie de me croire bien sincèrement monsieur, votre très humble et dévoué.
[en marge : Mr. Conourd, couretier à Bordeaux]
Du dernier
Mr. quoyque je n’aye pas l’honneur d’être particulièrement connu de vous, je prends la liberté de vous adresser la présente pour vous prier de scavoir me dire ce que c’est qu’un nommé Jacques de Mer aux Chartrons, je vous prierai même de passer chez luy, et vous informer de luy s’il a expédié à Montpellier deux tonnes terre brutte ou kaolin propre à faire la porcelaine, qui luy ont été adressé et expédié le 28 décembre dernier par la voie de Cubat d’ordre de Mr. Joachim Price de Montpellier, comme depuis qu’on a fait cet envois, je n’ay reçu aucunnes nouvelles ny du sieur Price, ny du sieur Jacques de Mer, en ce qui m’oblige à vous importuner. Pardonez monsieur de la peine que je vous donne, si en revanche vous me trouvez bon à quelque chose en ce pays, vous pouvez librement disposer de moy.Si vous avez quelques connoissances pour le débouché de ces terres ou pour des pâtes prêtes à metre en œuvre, aussi que des pâtes à figurer en biscuit portant leurs glassures, je vous prierai me les adresser, ou me les indiquer, ou enfin je pourois vous les faire vendre pour mon compte en vous bonnifiant de votre commission, ce qui est juste et naturel. Je vous salue et vous prie de me croire.
[en marge : Mr. Dinematin Dessalles, propriétaire à Limoges]
Du 30 juillet 1776
Mr. j’ay reçu en son temps l’honneur de votre lettre du 23 dernier, il est bien que vous ayez expédié à leurs destinations les futailles terre que vous ay cy devant adressée.Sur l’offre que vous me faittes de vos services touchant la spéculation des terres, si vous voyez jour si en débouchés, ainsi que des pâtes prestes à ouvrer, avec plaisir je _ avec vous, procurez moy du débouché et je vous proposerai votre comission comme il est trop naturel, je vous envoie par le messager de cette ville une caisse cordée marquée F. P. propriétaire 95 quintaux contient terre à potiers, laquelle ayant reçu vous payerez pour la voiture d’icelle 24 s au messager et expedierez la ditte caisse en toute dilligence, en faisant suivre vos débourcés à Mr. Robilliard commissionnaire à la poterne à Orléans, avec lequel je m’entendrai ou si vous avez un commissionnaire particulier à qui vous voullez donner la préférance, vous le pouvez en le priant de garder la ditte caisse à ma disposition et vous me donnerez en même temps son adresse pour que je luy ordonne de la forme passer à sa destination, je vous salue et vous prie de me croire bien sincèrement monsieur.Par apartittié Avisez-moy je vous prie du départ de la caisse.
[en marge : Mr. Henry de Rozindal à Turin en Savoye]
Du 3 août 1776
J’apprends monsieur que vous dirigez une manufacture de porcelaine que le roy de Sardaigne a établie à Turin et que vous tirez vos pâtes de la manufacture qui est établie à Limoges, et que vous avez traitté pour cette manufacture depuis le temps que vous teniez celle du faubourg Saint Denis à Paris, dans la concurrence où nous avons été avec la manufacture de Limoges vis-à-vis celle de Saint Denis, nous avons obtenu de préférance tant par la bonté de nos pâtes qui se sont trouvées supérieures à l’épreuve que par le bon marché, si vous voulez vous adresser à moy, j’aurais l’honneur de vous en fournir la quantité dont vous aurez besoin tant de pâtes que de couverte ou de pâtes de figures et je vous ferai passer des échantillions pour faire les épreuves dès que vous m’aurez paru en désirer. La paste de porcelaine vous coûtera vingt cinq livres le quintal ou cent pezant, celle de couverte 30 £ et celle pour figurer quarantes livres, dans le cas où vous en demanderez je vous prie m’indiquer par où je vous le ferais passer et où je pourrai vous les adresser ; signé Lasseinie, capitaine de cavalerie.J’oubliais de vous dire que les prix indiqué cy-dessous sont fixés autant que vous prendrez les pâtes dans notre manufacture de la Seinie, nous ne nous chargerons d’aucuns fraix de transport.
[en marge : Mr. Guinebaud , propriétaire à Orléans]
Du 31 juillet copiée le 8
Mr. quoy que je n’aye pas l’honneur d’être connu de vous, j’ay pris la liberté de vous faire ? adresser sous les auspices de Mr. D’Unmatain Dessalles mon commissionnaire à Limoges 1 caisse marquée F. P. pesant 95 £ contenant des échantillions terre à potiers, laquelle ayant reçu je vous prie la faire passer en toute diligence à monsieur F. J. Peterinck, directeur de la manufacture royalle et impérialle de Tournai en Flandre, et je vous prie _ l’expédition de cette caisse faitte m’en avizer, faire suivre vos débourcés, et me dire en combien de temps elle parviendra à sa destination. J’attends de vous ce plaisir ainsi que de me croire bien sincèrement.
[en marge : Mr. Dunematin Dessalles à Limoges]
Du 8 août 1776
Monsieur je vous envoie par Léonard Sponce ? bouvier de Saint Hilaire Lacaux ? une barrique et une caisse marquée J. B. contenant terres à potier qu’ayant reçu bon conditionnement, il vous plaise payer pour toute voiture huit livres et expédier de suitte l’un et l’autre à Mr. Gaboret négociant à Angoulême, en faisant suivre vos béourcés et suis bien sincèrement, monsieur.Veuillez je vous prie à m’aviser du jour du départ de l’un et l’autre, et ne donnez pas au-delà de 30 s pour la voiture de Limoges Angoulême, et vous trouverez à faire partir facillement à ce prix.
[en marge : Mr. Gaboret à Angoulême]
Du 11 août 1776
Mr. cy dessus vous avez fortune ? d’une barrique terre de porcelaine montant avec les fraix ? à quarante huits livres quinze sols, comme je ne vous envois pas cette barrique pour votre compte, il vous plaira seullement en prendre notte pour m’en procurer le débouché et tâchez s’il vous est possible d’en faire une forte vente sur cete ? montre, vous recevrez egallemet que je vous ay expédié gratis une caisse contenant environ 70 £ pâte à porcelaine, et 25 à 30 £ couverte ou glassure d’icelle, le tout prêt à ouvrer ; vous pouvez assurer ceux à qui vous enverrez l’un et l’autre de la beauté et bonté des ouvrages qui en seront fabriqués, et sur c_ assuré d’avance qu’ils me donneront la préférance tant à cauze de la qualité des terres et pâtes que sur toutes choisies sur les lieux, qu’à cause de la douceur des prix qui diffèrent de beaucoup de ceux du sieur Grellet.Dittes moy je vous prie, si je dois compter sur du plastre j’aurais besoin de le scavoir promptement.
[en marge : Mr. Lapeyre , huissier royal à Cubas]
Mr., monsieur de Lasserve vous ayant expédié le 28 décembre dernier deux barriques terre porcelaine avec ordre de le faire passer de suitte à monsieur Jacques de Mayer négociant aux Chartrons à Bordeaux, et n’ayant reçu aucunnes nouvelles ny de ce dernier, ny de vous monsieur de paier cet envoi, ne sachant par concéquant ny où elles sont, ny de quoy elles sont devenuës, je vous prie vouloir bien me dire en réponse le plustôt possible si vous avez reçu et expédié ces 2 barriques à livrer destination ou si vous les avez encore chez vous ce que je présume et me dire qu’elles peuvent être les raisons pour lesquelles elles n’ont pas eu le cours qu’elles devoient avoir, ce que j’ay besoin de scavoir tant pour ma propre satisfaction que pour la régularité des affaires de la manufacture dont j’ay pris la direction depuis environ 3 mois. J’attends donc ce plaisir de vous monsieur et vous prie de me croire bien sincèrement votre très.
[en marge : Mr. Gaboret à Angoulême]
Du 24 août 1776
Mr. vous avez sûrement reçu au reçu de la présente la barrique terre de porcelaine ainsi que la petite caisse pâte et couverte que vous a fait passer monsieur Dessalles le 15 ou 16 du dernier, je me repose sur vos soins à me procurer un fort débouché de ces terres qui sûrement auront la préférence à celles de monsieur Grellet sur tout d’apprès l’épreuve que l’on pourra faire bien vite en enployant la pâte que je vous ay faite passer, qui est composée de la même terre que la barrique que je vous ay envoyé, et si l’on préfèrent de la pâte telle que la montre avec la couverte ou sans couverte j’en envoyerois.Trouverois-je Angoulême un fléau ou ballancier propre à peser de 2 à 3 tonnes ? et quel prix me coûteroit il, le vôtre par exemple de quel prix est-il, à qui m’adresserois-je à Bordeaux pour cet effet, je vous prie me l’indiquer à moins que vous prévoyez m’en avoir un semblable au vôtre ou à peu près Angoulême, je suis bien sincèrement monsieur.
[en marge : Mr. Jean-Jacques de Meyere à Bordeaux]
Du 24 août
Monsieur j’ay reçu en son temps l’honneur de la vôtre du 3 dernier, je vois par icelle que vous n’avez pas encore reçu les deux tonnes terre à porcelaine que monsieur de La Senie vous a cy devant expédié pour le compte de monsieur Price de Montpellier, j’ignore encore si ces deux tonnes vous ont été expédiées de Montigniac où elles étoient et y a peu de jours, si elles vous parviennent je vous prie. Le cy_ jusqu’à ce que vous ayez reçu de nouvelles de monsieur Price, vous priant m’en faire part, et expédiez les deux tonnes terre que sur de nouveaux ordres de ma part vû que j’ay écrit au dit sieur Price et que je n’ay reçu du dit sieur aucunnnes nouvelles, je vous offre tout ce que dépend de moy et vous prie de me croire bien sincèrement.Monsieur me procuriez-vous un fléau ou ballancier pouvant porter environ 2 à 4 tonnes que pourroit-il me coûter pris à Bordeaux.
[en marge : Mr. Dunematin Dessalles à Limoges. F. M.]
Du 25 septembre 1776
Monsieur je vous envois par Antoine Bonnet métayer à monsieur Limouzin et par ses convoits du village de Ladrouille paroisse de St Hillaire Lastours six barriques et une caisse marquée et numérotée comme en marge pesant ort ? cinq milles neuf cents soixantes sept livres qu’ayant reçu il vous plaira faire passer de suitte à monsieur C. F. Martin, maître appoticaire à Paris et payer pour toute voiture aux bouviers quarente une livres scavoir à Antoine Bonnet 13 £, à Pierre Fraisse 13 £, à Aubin Fourchette 7 £, à Léonard Chaume 8 £.Et vous ferez suivre vos débourcés comme d’uzage à B_, je vous prie que comme les bouviers se sont engagé à me conduire cinq barriques de plastre qui sont chez ma mère, je vous prie les faire charger les dittes barriques avant que de leurs compter leur voiture et faire spécifier dans la lettre de voiture dont vous les chargerez, que je les payerois à raizon de ce que je suis convenu avec eux, je vous salue et suis bien sincèrement monsieur.
[en marge : Mr. Sifflet à Lunéville]
Du 29 décembre
Mr., étant le directeur d’une manufacture de porcelaine établie depuis deux ans, sous les auspices de trois illustres seigneurs de ce pays, et ayant appris par voix indirecte que vous avez différents moules desquels vous seriez charmé de vous déffaire c’est ce qui donne cours à la présente.Comme je pouvois m’accommoder de partie de ces moulles au cas que ce que l’on m’a dit soit vrais, je vous prierois me dire en réponse en quoy consistent ceux dont vous voulez vous défaire, ainsi que la quantité et le prix que vous en voudrez, affin que sur votre réponse je sache sur quoy je pourois tabler en attendant je vous offre tout ce qui dépend de moy et vous prie de me croire avec respect.Et par appartitteSi vous avez besoin de paste de porcelaine avec sa couverte ou glassure, et de paste à figurer en biscuit portant avec elle sa glassure, je vous en offre avec plaisir".
(Extrait du grand livre de correspondances de la Seynie, AD 87, 1 Q 205)
Procès-verbal de visite de la manufacture de la Seynie (1776)
« Aujourd’hui vingt-cinq octobre mil sept cent soixante-seize,
à neuf heures du matin, nous Martial de Lépine, escuyer, sieur du Masneuf,
subdélégué de M. l’Intendant de la généralité de Limoges, et Pierre Cornuau,
inspecteur des manufactures de la même Généralité, commis par M. l’Intendant à
l’effet des présentes, nous étant transporté en la manufacture de porcelaine
établie au château de la Seinie, à demi quart de lieue de la ville de
Saint-Yrieix, pour rendre un compte détaillé de l’état de ce nouvel
établissement, des ressources qu’il peut présenter pour le commerce et
d’examiner, s’il est dans le cas de mériter que l’on déroge, en sa faveur aux
dispositions de l’arrêt du Conseil du 15 février 1766, avons trouvé que les
bâtiments, fours et ateliers de cette manufacture occupent tout l’ancien
château de la Seinie, qu’ils sont construits à neuf dans une bonne
température et une belle exposition et nous, Cornuau, en avons levé le plan qui
est cy-joint et qui en donnera une idée plus claire et précise que la
description que nous entreprenons d’en faire.
Nous sommes d’abord
descendus dans une cave au nord où les pâtes préparées sont contenues dans
de grandes mais de bois de châtaignier ; la quantité de cette pâte peut
s’élever à dix milliers pesant. Les pâtes nous ont paru très blanches et d’une
ductilité qui les rend susceptibles des plus grands ouvrages. Nous y avons
aussi remarqué d’autres pâtes venant du moulin dont il sera cy-après parlé et
que l’on battait avec des barres de fer pour la préparer.
Étant ensuite montés
au rez-de-chaussée, distribué en
plusieurs salles où sont contenus des ateliers de toute espèce, nous y
avons trouvé huit tournaseurs formant des vases comme pots à rafraîchir le vin
et les verres, pots à ouïlles, terrines, casserolles, cuves à laver les pieds,
écuelles, etc.
Nous sommes ensuite
montés au premier étage où nous avons trouvé environ deux mille pièces dont
partie séchaient et les autres étaient en biscuit.
Après cela, nous
sommes entrés dans un autre magasin contenant le produit des trois
premières fournées dont un grand nombre étaient trésaillées ce qui provenait de
la négligence du conducteur du feu et de la mauvaise construction des fours que
l’on se propose de rectifier incessamment.
Le petit nombre de pièces conduites à perfection nous a paru
de la plus grande beauté et a soutenu même avantageusement la comparaison que
nous en avons faite sur les lieux avec des pièces de la manufacture de Limoges,
de celle de Bordeaux, de celle de la Chine, de celle du Japon, de celle de Saxe
et même de celle de Sèves (sic) dont il nous a été représenté des pièces de
comparaison, laquelle préférence n’est prise que de la blancheur et de la
beauté du biscuit et de la couverte et non de celle des formes.
Nous avons ensuite pris au hasard parmi les dites pièces une
théyère que nous avons soumise à l’épreuve subite de l’eau bouillante qu’elle a
très bien soutenue sans aucune fente ni gerçure, laquelle épreuve nous avons
jugé suffisante pour l’usage auquel ces porcelaines sont destinées.
Ensuite, sommes
entrés dans une autre salle et cabinet destinés à la manipulation future et
à l’application des couleurs, au fond de laquelle salle est un laboratoire de
chimie avec tous ses fourneaux.
Enfin, nous avons
visités les logements du directeur et du commis de cette manufacture que
nous avons trouvés de la plus grande propreté et bien plafonnés ainsi que tous
les laboratoires et ateliers de la manufacture.
Et le lendemain,
vingt-six octobre mil sept cent soixante-seize, nous, commissaires susnommés, nous sommes transportés à la carrière de la
Bachelerie situés à 300 toises ou environ du bâtiment de la manufacture,
ladite carrière appartenant à M. de La Seinie et de laquelle on tire le kaolin
ou argile blanche dont se fait la porcelaine. Nous y avons trouvé huit ou dix ouvriers occupés, tant à
tirer cette argile des filons qu’elle forme dans la terre qu’à pratiquer une
issue aux eaux qui en entretiennent l’humidité de temps immémorial et la
rendent propre à être employée plus avantageusement, plus promptement, et à
former des pièces d’une grandeur inusitée, et l’ayant comparée à plusieurs
autres kaolins, soit de ceux employés pour Sèves (resic) ou pour Limoges, soit
de ceux dont un grand nombre de manufactures du royaume sont alimentées, nous
l’avons trouvée égale pour la blancheur aux plus blancs et supérieure pour la
pureté à tous en général.
Elles sont telles que la plus grande partie de ce kaolin n’a
pas eu besoin, jusqu’à présent, d’être lavée ny décantée et a été employé tel
qu’il sortait de la carrière. Cette carrière, enfin, nous a paru vaste et
abondante, d’une exploitation peu coûteuse et capable d’entretenir pendant
longtemps la manufacture la plus étendue.
De là nous sommes
transportés au moulin du Pré Badial, à deux cents toises de la manufacture,
dans lequel on broye ou triture les pâtes destinées tant au biscuit qu’à la
couverte. Ce moulin, construit à neuf,
est situé sur le ruisseau du Chantre, à cent toises de la ville de
Saint-Yrieix. La mécanique nous en a paru des plus simples et des plus expéditives
pour la trituration, soit du kaolin, soit du petunzé. Il est composé de trois
pilons et de quatre meules d’un granite extrêmement dur que l’on nous a dit
être tiré du lieu de la Pommarède en
Périgord[1].
Nous avons trouvé en ce moulin plusieurs blocs de pétunzé ou spath fusible très
blanc sans presque aucun mélange de quartz. Il se tire d’une carrière
appartenant audit sieur de la Seinie sous l’étang du Chevrier, paroisse de
Saint-Pierre-de-la-Nohaille, aux portes de Saint-Yrieix, plus de ce même pétunzé
réduit en poudre prêt à être jeté dans les auges du moulin et d’autre pétunzé
qui était dans des cuves pour être transporté au magasin de la manufacture.
Nous y avons observé du kaolin en pâte provenant soit de la carrière cy-dessus
désignée, soit de plusieurs autres dont les entrepreneurs se sont procuré le
produit.
Ils nous ont ensuite faut observer que quoyque ce moulin fut
suffisant pour alimenter la manufacture la plus employée, l’étendue qu’ils
espèrent donner à la leur les a engagés à faire construire un deuxième moulin
et nous avons été conduits à ce moulin appelé de la Planche au Faux, sur la
petite rivière de la Loue, auquel nous avons trouvé que l’on travaillait
actuellement et auquel on espère donner huit auges et six marteaux pour une
préparation plus ample des matières propres à la porcelaine.
Telles sont les observations que nous avons faites sur les
lieux, et, pour répondre en détail aux éclaircissements demandés par M.
l’Intendant, nous avons l’honneur de lui observer :
1)
Que la dorure, la peinture et la ronde bosse
donnant un relief et un éclat infini aux porcelaines les plus médiocres et
celles de la Seinie étant égales ou supérieures à toutes par la blancheur du
biscuit et l’éclat de la couverte, elle ne doit point être privée d’un avantage
capable de la conduire à une plus grande perfection et de lui donner un plus
grand prix.
2)
Que cette manufacture se trouve placée plus
avantageusement qu’aucune autre du royaume par la proximité des matières
premières et essentielles, savoir : le kaolin, le pétunzé, la terre à
gazette, le bois blanc, qu’elle leur donnera une valeur dont elles avauent été
privées jusqu’au temps de la première découverte de ces matières.
3)
Que MM. Beaupoil, de la Seinie et du Garreau,
gentilshommes ayant déjà sacrifié de grandes sommes soit pour les bâtiments,
l’extraction des matières et les premiers essais qui, dans ces entreprises, son
toujours dispendieux, méritent cette grâce du Conseil pour leur zèle et leur
aisance qui les met en état de soutenir et d’augmenter cet établissement.
4)
Que cette faveur a été accordée à plusieurs
manufactures qui n’avaient pas les mêmes raisons d’utilité publique et reconnue
pour y prétendre.
5)
Que ces raisons sont fondées sur ce qu’ils ont
employé et emploient journellement pour les travaux beaucoup de manœuvres et
jusqu’à des enfants qu’ils ont retirés de la mendicité, de sorte qu’on ne voit
presque plus de mendiants dans Saint-Yrieix.
6)
Que le terroir de Saint-Yrieix et de ses
environs étant froid et infertile, le travail de la porcelaine dédommagera les
habitants de la stérilité de la terre, qu’il en augmentera le nombre et qu’une
nombreuse population sera la suite de l’employ à cette fabrication des bras qui
ne peuvent rien tirer de terres incapables de toutes autres productions.
7)
Que les essais étant plus faciles et moins
coûteux au milieu du pays qui produit les matières premières de la fabrication,
les essais multipliés en tout genre produiront (s’ils réussissent) de nouvelles
richesses à ce canton et aux environs.
Par ces raisons, nous estimons que
M. l’Intendant peut faire accorder à ces MM. Les entrepreneurs de la
manufacture de la Seinie la permission de dorer, de peindre et de faire des
ouvrages de ronde bosse, qu’ils ont demandée au Conseil.
Fait au château de Puy-de-Bette,
près de Saint-Yrieix, le vingt-six octobre mil sept cent soixante-seize.
Signé :
De Lépine
Cornuau
[1] Peut-être Pommarède commune de Lunas, au nord-ouest de Bergerac.
(Extrait de la Société historique et archéologique du Limousin, 1894 (1ère livraison), t. 41, p. 463 et suiv.)
Lettre de l'Intendant de Limoges au directeur général des finances à propos de la manufacture de la Seynie (1778)
"Limoges, le 22 mai 1778
Monsieur le directeur général,
J’ai l’honneur de vous renvoyer le mémoire de MM. Du Garreau de la Seinie et de Beaupoil de Saint-Aulaire que M. de Cotte m’a adressé le 21 du mois de janvier dernier et par lequel ils demandent une gratification annuelle de 6 000 livres pendant cinq à six ans pour les indemniser d’une partie des dépenses qu’ils ont faites pour l’établissement d’une manufacture de porcelaines à Saint-Yrieix, qu’ils ont formée au château de la Seinie.
J’ai fait lever le plan des bâtiments de cette manufacture construits en grande partie à neuf, sur les fondations du château de la Seinie situé à un quart de la lieue de la ville de Saint-Yrieix ; je joins ici ce plan par lequel vous pourrez juger de la distribution et des proportions des bâtiments.
MM. de la Seinie, de Beaupoil et du Garreau, anciens militaires retirés avec la croix de Saint-Louis, ont formé cet établissement depuis quatre ans…
[…]
L’infidélité et l’incapacité de ceux auxquels ils avaient donné les travaux de leur manufacture en ont retardé pendant quelque temps le progrès. Depuis six mois ces travaux ont été repris avec vivacité sous la conduite du sieur Mathieu, nouveau directeur, que M. Bertin a bien voulu procurer à cette entreprise et dont les talens reconnus font espérer plus de succès. Suivant les éclaircissements que j’ai pris, cette manufacture n’occupe dans ce moment qu’un petit nombre d’ouvriers étrangers tels que des peintres, modeleurs, etc. ; comme elle se trouve surchargée d’une grande quantité de porcelaine crue et en biscuit, l’objet le plus intéressant était de construire un four sur de meilleurs principes que les précédents. Le nouveau directeur s’en est occupé ; cet ouvrage commencé depuis plusieurs mois est achevé, il est destiné à cuire 15 à 16 000 pièces de porcelaine qui remplissent les bâtiments.
[…]
Cette matière première (les pâtes) se trouvant en abondance et étant de la première qualité aux environs de Saint-Yrieix, M. de La Seinie a fait construire deux moulins propres à triturer une assez grande quantité de pâtes pour en fournir au moins deux cent milliers par an, ce qui peut suffire à la consommation de plusieurs manufactures ».
[Extrait de la liasse sur les documents concernant la Seynie, AD 87, 1 Q 205].
Procès-verbal et inventaire de la manufacture de la Seynie et de son moulin à kaolin (1790)
« Extrait du registre des délibérations de la municipalité de Saint-Yrieix-la-Perche, département de la Haute-Vienne.
Aujourd’hui vingt-six septembre mil six cents quatre vingt douze, le premier de l’égalité, nous François Brande, Antoine Bonhomme, Gabriel Mazard, officiers municipaux et Methou procureur de la commune, commissaires nommés par la municipalité, qui a été déléguée par arrêté du Directoire du district à l’effet d’inventorier les meubles et outils et approvisionnements qi sont dans la fabrique et moulin à porcelaine appartenant au sieur Garreau La Senie en exécution de l’arrpeté de la municipalité qui nous a nommés pour cette opération, et en vertu de l’arrêté du département rendu à cet égard, nous nous sommes rendus à la manufacture à porcelaine appellée de La Seinie, là étant nous avons fait connaître au sieur Bagnol les motifs de notre transport, en conséquence nous avons opéré ainsi qu’il suit.Nous sommes entrés dans l’attelier appellé la tournerie, après examen fait nous avons trouvé quatre tours avec leurs tablier iceux tabliers appartenants au sieur Bagnol, lesquels tours remplissent cet attelier d’un bout à l’autre avec leur quatres banquettes et ayant chacun trois girelles de différentes de différentes grandeurs dont deux mauvaises.
[v]
Plus un grand rayon en entrant à main gauche composé de six compartiments dont quatre à huit étages les deux autres seulement à sept le tout en assez mauvais état, à la cime de ce rayon et à côté de la porte en entrant se trouve un mauvais cabinet à deux battants de grosse menuiserie, fermant avec un tourniquet en bois.Une table d’environ sept pieds et demi de long sur environ trois pieds de large.Et deux petites tables de menuiserie ayant chacun leur tavercier avec leurs tiroirs.Cent vingt-deux rondeaux de plâtre de différentes grandeur, observé que ce qu’on vient d’écrire, appartient au sieur Gareau La Senie.Entré dans l’attelier des gazetiers, jadis dit celui des répareurs, après vérification faite nous avons trouvé dans la croisée qui est à main droite en entrant, un tour à gazetter avec deux grilles et sa banquette à côté fort usé.Un rayon à quatre compartiments ayant sept étages, à côté de ce rayon s’en trouve un autre vasant ? attaché au mur à cinq étages composé de quatorze planches avec une banquette du côté de la fenêtre donnant sur la cour.Se trouvent deux cents cinquante-deux assietes de différents modèles et frandeurs.Un gagne petit avec sa meule, un grand mortier de fonte avec son pilon de fer, une table d’environ cinq pieds de long sur environ trois pieds et demi de large
[fol. 2]
Un marche pied à trois marches, un grand baquet cerclé en bois de médiocre grandeur avec un mauvais couvercle servant à broyer les couleurs et un petit baril de la hauteur d’environ deux pieds ce dernier objet appartient au sieur Bagnol d’après sa déclaration.Entrés dans l’attelier dit des mouleurs se trouve à droit en entrant un rayon attaché au mur avec cinq étages composé de cinq planches.Un autre rayon occupant presque la longueur de l’appartement suivi de huit compartiments ayant six étages, à gauche de porte en entrant une banquete qui règne le long de la fenêtre depuis la porte d’entrée jusqu’à celle de la sortie à côté de la quelle se trouve un autre rayon attaché au mur ayant quatre étages dont le tout formé six plages travaillées, et attendu qu’il est six heures du soir nous avons renvoyé la continuation de notre opération à demain. Fait les jour, mois et an que dessus, signés Brande, Bonhomme, Mazard, officiers municipalx et Crouzillard secrétaire greffier.Aujourd’huy vingt sept septembre 1792 l’an 4 de la liberté et de l’égalité, le 1er, nous Brande, Bonhomme, en l’abcence du sieur Mazard officiers municipeaux et Léonard Methou procureur de la commune
[fol. 2v]
Commissaires nommés par la municipalité déléguée par arrêté du Directoire du district aux lieux de l’opération ci-dessus.Nous estant transportés à la fabrique dont s’agit, et parlant au sieur Bagnol cadet et fermier et entrepreneur d’icelle, nous l’avons invité de nous faire connaître les objets que nous devons inventorier, cela fait accompagnés dudit sieur Bagnol, nous nous sommes transportés par continuation dans l’attelier dit du Bisquit où nous avons vu un rayon ayant quatre compartiments avec six étages composés de six planches, une banquette faite en contour régnant le long des fenêtres, deux mauvais baquets sans couver, les impieds ? de cartelage blanc donnant à peu près vingt pouces en quaré sur quatre pouces d’épaisseur servant à mouler.Entré dans l’attelier dit de la couverte dans lequel nous avons trouvé un rayon à trois compartiments avec six étages, une banquette dominant le long de la fenêtre dans l’embrasure d’icelle, une table ayant environ trois pieds de long et trois auts, soixante planches de différentes longueur et largeur.Entrés dans l’attelier du four nous avons trouvé une table longue d’envrion sept pied sur environ trois pieds de large, et trois bares de fer pour l’usage du four de
[fol. 3]
longueur d’environ cinq pieds.Rendus dans la boulangerie, nous n’i avons rien trouvé, et à cet égard le sieur Baignol nous a observé qu’il y avait jadis un coffre, mais qu’il la fait transporter dans la grange pour y mettre de l’avoine, lequel après examen nous l’avons trouvé casi hors de service.De là, sommes descendus dans la cave où se trouve l’attelier des répareurs dans laquelle avons trouvé quatre baquets.Il est à observer que nous avons parcouru les autres appartements de la fabrique où nous n’y avons trouvé aucune espèce de meubles appartenants aux sieurs Garreau si ce n’est un bois de lit en assez bon état.Et revenant sur les meubles qui existent dans la fabrique, outre ce bois de lit, nous avons cru nécessaire et qu’il était de notre devoir d’en faire une mention expresse, c’est-à-dire la description à considérer les termes de l’arrêté du département qui sont ainsi conçus, il sera fait état et inventaire de tous les meubles, outils et objets d’aprovisionnement qui sont dans la fabrique et moulin dont s’agit.En conséquence suit la description des meubles et éffets suivants appartenant au sieur Bagnol, quetre lits garnis
[fol. 3v]
Complètement de différentes étoffes ainsi que les couettes et matelas, dans le nombre des quatre est compris un petit lit roulant plus deux baldaquins.Deux commodes ou buffets sans tiroirs avec leurs ferrements ayant chacun deux bastants sur l’un desquels buffets est placé un vesselier fermant à deux battans avec ses ferrements, une table en pied de biche avec son tiroir à quatre couverts, trente chaises, deux miroirs, leurs bois sculptés dont l’un d’iceux est cassé.Batterie de cuisine quatre chandeliers dont 2 en composition et deux en cuivre, une poile à frire avec son porte poele, un gril, un tourne broche avec deux broches, une lechefrite, quatre chenets, trois casseroles, six pots de fonte de fer de différentes grandeur, deux cuilleres à pot, un écumoir, un bassinoir, un grand chauderon de cuivre rouge, vingt cuillers d’étain à soupe, deux douzaines de fourchettes de fer sans assietes d’étain.Relativement aux meubles et éffets ci-dessus, nous avons remarqué qu’il en existe d’autres à peu près de même genre, mais le sieur Bagnol nous a déclaré appartenir à ses ouvriers.À l’égard de ce dont il est question quant aux meubles et éffets du sieur Bagnol que l’on vient d’inventorier, celui-ci nous a dit que la propriété qu’il a de ces objets est incontestable pour le prouver ainsi il offre en cas de difficulté, ce qui n’est pas
[fol. 4]
à présumer d’administrer preuve qui résulte du témoignage des sieurs Couce et son épouse, Pierre Dujardin et Jean Denis, cette opération faite nous sommes entrés dans le magazin à porcelaine où nous avons trouvé :1° une grande table de six pieds de long sur six de large, suportant deux tablettes en long le tout propre à placer la porcelaine.Vu un grand rayon à main droite en entrant à huit compartiments ayant dix étages, et à main gauche un autre grand rayon suivi de mêmes compartiments que le 1er étage en propective ? de la porte d’entrée et à côté des fenêtres donnant sur le derrière se trouvent deux rayons, dont chacun deux à huit étages et dont l’un d’iceux à un tiroir et ayant chacun leur tablettes, enfin une mauvaise échelle à bras composée de sept échelons.Se trouve dans différents appartements de la fabrique : quatre poëles à feu, avec dix pieds, de mauvais tuyeaux, et un nombre considérable de moules en plâtre de différentes grandeurs, y compris deux écheles à bras, le tout appartenant au sieur Garreaux La Seinie.Suit les objets d’approvisionnement appartenant au sieur Bagnol ainsi qu’il offre de le prouver en cas de difficulté.
1° Se trouve dix fournées de cru de différentes formes ;
2° Douze charetées de terre à gazette ;
3° Le sieur Bagnol nous a déclaré avoir six cents quintal de terre à porcelaine ;
4° cent quintaux de pâte ;
5° cinquante quintaux de couverte ;
[fol. 4v]
6° mille gazettes prêtes pour la cuison de différentes grandeurs ;
7° deux cents brassiers de bois, quatre mille fagots, lesquels objets d’aprovisionnement appartenant au sieur Bagnol, comme il est dit ci-dessus lequel nous a requis d’observer que sa qualité de former ne peut être douteuse à considérer les quittances énonciatives du payement de ferme données par le sieur Garreaud émigré et à se fixer sur l’état et procès verbal de la manufacture et moulin dont s’agit dont copie nous a été exibée par le sieur Bagnol, signée et écrite de la main du sieur Bagnol Garreau La Senie ce qui fait une preuve complette, a dit le sieur Bagnol de l’existence de la ferme dont il excepte , car le sieur Gareau La Seinie, n’eut pas fait conjointement avec lui, l’état et procès-verbal ci-dessus, s’il n’eut pas eu en sa faveur la ferme dont est question, dont plusieurs personnes en ont connoissance qui sont, nous a dit encore le sieur Bagnol, le sieur Rudeuil et Morange avoiés, le sieur Garreau La Mechenie cadet, les sieurs Alluaud, Massiere et Gabriel Grelet de la ville de Limoges et a demandé signer ses obervations ce qu’il a fait signé à la minute, Bagnol cadet.Ce dernier invité de nous faire connaître d’autres objets dépendants de la fabrique et ce qui pouvait lui appartenir des surplus, il nous a dit et déclaré avoir une jument de trait avec ses arnais et une charête, le tout lui appartenant.
[fol. 5]
En outre il nous a fait remarquer l’existence d’un angard fait à neuf et nouvellement fini faizant face à la fabrique à raison duquel il nous a observé qu’avant l’émigration du sieur Garreau La Seinie, il avait été convenu entreux que pour sa comodité, icelui Gareau fournirait le bois et thuilles pour cet engard, en ce que lui Bagnol payerait la main d’œuvre pour travailler les bois lattes feuilles, maçonnerie, couverture et fournirait tous les cloux nécessaires dont le montant du tout serait fourni déduit sur le prix de la ferme en question.Cette dernière opération est la dernière dicelles concernant la fabrique, en conséquence nous nous sommes de faitte transportés au moulin dont s’agit, là étant nous avons procédé ainsi qu’il suit :Entrés dans l’appartement où est le moulin propre à faire moudre les pâtes pour la fabrication de la porcelaine et servant à piler les cartins ? et gazettes et apprès l’avoir examiné d’un oeuil attentif nous avons remarqué qu’il est composé :
1° de quatre petites roues en forme de lanterne ;
2° d’une grande roue les faisant tourner ;
3° d’une autre petite roue aussi en forme de lanterne attachée à l’arbre de la grande roue en dehors faisant tourner toutes les autres ;
4° de quatre petites cuves serclées de chacune trois cercles de fer ayant chacune
[fol. 5v]
son couvercle dans lesquelles sont attachés les arbres en fer des quatres petites lanternes au bout desquels se trouvent deux meules chacune, celle de dessus tournante et l’autre mobile, le tout propre à broyer les pâtes, remarque au surplus que ce moulin à tous ces ferrements en bon état à côté du quel se trouve un boucambre ? garnie de tous ses ferrements ayant trois pilons, la tête en fer et l’autre en bois, propre à piler le cartin ? et après avoir examiné la roue placée en dehors tournant par le moyen de l’eau à l’effet de donner le mouvement au moulin ci-dessus, nous l’avons jugée comporter plus de cinquante pieds en circonférence et environ vingt-huit de hauteur. Dans l’appartement de ce moulin se trouve une table en quarré, avec tiroirs, ses quatre pieds et traverse en menuiserie de longueur de trois pieds et demi sur deux de larges, un coffre plus qu’à demi usé de grosse menuiserie, trois baquets ayant chacun deux cercles de fer avec leurs ances aussi de fer dont l’un plus grand que l’autre, une bombe en fer servant à écraser les cailloux du poid de dix livres, une romaine ? pesant à la tête du côté de fort ? quarante livres, une grande romaine pesant à la tête six quintaux, le tout appartenant au sieur Gareau La Senie.Et ce qui appartient au sieur Bagnol se
[fol. 6]
trouvent dans ce moment dans cet appartement, consistant en deux mauvais futs avec leurs cercles de bois défoncés et un petit baril hors de service, un tamis en crain servant à blutter le plâtre.Entrés dans la cuisine où demeure le moulinier, nous avons requis ce dernier de nous faire connaître les éffets qui appartiennent a sieur Garreau La Senie, d’avec ceux du sieur Bagnol, il nous a fait remarquer une petite table propre à placer dans l’embrasure d’une fenêtre, montée sur quatre pieds de biche dont le traversier cintré le tout en mauvais état appartenant au sieur Gareau.Entrés dans un autre appartement où l’on place la pâte broyée, il se trouve deux grandes cuves ayant chacune trois cercles de fer plus autre deux cuves moyennes cerclées en bois, les quatre destinées à déposes les pâtes broyées, à côté de la croisée donnant sur le chemin, et dans l’embrasure d’icelle il existe une espèce de mait servant à mettre la terre blanche et une échelle à bras, ayant neuf échelons, le tout appartenant au sieur Gareau.Les objets qui suivent appartiennet au sieur Bagnol, savoir trois mauvais fûts défonsés.C’est tout ce que nous avons trouvés[fol. 6v]dans les appartements dudit moulin dont du tout nous avons claud et arrêté notre présant porcès verbal pour servir et valoir ainsi que de raison les jour, mois et an que dessus, signé Brande, Bonhomme, Petit, officiers minicipeaux, Mathou procureur de la commune et Crouzillard secrétaire greffier.Pour expédition de copie ».
[Extrait de la liasse sur les documents concernant la Seynie, AD 87, 1 Q 205].
Documents concernant l'incendie d'une partie de la manufacture (1793)
Désignation d'un expert suite à l'incendie (13 mai)
« Le receveur du droit d’enregistrement soussigné a l’honneur de vous exposer que le département par son arrêté du 11 courant a authorisé la Régie à faire procéder au bail au rabais aux réparations à faire à la manufacture de porcelaine de la Seinie, en conséquence vous demande qu’il soit préalablement fait un devis par homme de l’art, en présence d’un commissaire pris dans votre sein ou tout autre qu’il vous plaira nommer.Observé à St Yrieix, le 13 may 1793 l’an 2 de la Rep.QuantinLe Directoire oui le Procureur sindic nomme expert le citoyen Pichon, architecte , pour faire le procès verbal estimatif, en présence [manque] séance publique le 13 may 1793 l’an 2 de la Rép. Françoise et indivisible.
Crezenet Julpicy Lamothe
Procès-verbal de visite des lieux après l’incendie de la dépendance de la manufacture de La Seynie (13 mai)
« Je soussigné secrétaire en chef de l’administration du district de Saint-Yrieix, par elle nommé commissaire pour conformément à l’arrêté du département rendu sur la pétition du citoyen Baignol , dresser l’état et procès-verbal des motifs et causes de l’incendie de certain bâtiment dépendant de la manufacture de la Seinie près cette ville. Me suis transporté ce jourd’hui treize may mil sept cent quatre-vingt-treize l’an 2 de la République, à une heure de l’après-midi audit lieu de la Seinie et bâtimens de la manufacture de porcelaine, où étant en présence du citoyen Baignol, avons parcourru tout le bas ou rez-de-chaussée où est le fou à procelaine, j’ay apperçu que les flammes n’avoient point endommagé le bas, et que par conséquent elles n’étoient point sorties par la porte d’entrée du bas du four, ni des entrées des feux aude[ssus] du four. De là suis monté au second étage et suis entré dans le globe du four, et ayant examiné les ravages causés par l’incendie et la charpente principalement endommagée, j’ai cru que l’incendie n’a pu provenir que ce que qu’on avoit placé du petit bois menu, coupé, appelé de longune, dans ledit globe et que l’intérieur où les parois dudit globe se trouvèrent tellement chauds quel le bois s’enflamma par cette trop grande chaleur, ou que ce bois étoit extrêmement chaud et desséché. Un coup de vent fit monter par les crénots qui des feus ? du bas communiquent audit globe, quelque bûches qui mirent le feu au bois que s’y trouvoit ; que le feu ayant ainsi pris et se trouvant resseré par la fermeture du tuyaux du four avec un rondeau de terre,
[v]
la flamme ainsi comprimée par le haut se firent passage à travers la fermeture de l’entrée du globée ; que l’entrée dudit globe n’étant fermée qu’avec des corps peu joignant ensemble ou des briques enlassées les unes sur les autres. Des rayons de flammes rejaillirent à travers et se portèrent vers le haut de la charpente du bâtiment qui couvre et entourre le four. Je pense d’autant plus que c’est cette sortie de flammes, que c’est vis-à-vis et à l’endroit donnant sur l’entrée du globe, que la charpente et l’éguille en l’air et suspendue ont été presque entièrement brûlées, quoique ladite éguille soit encore à la même place. J’ai appercu que les flammes une fois sorties du globe se roulèrent dans l’intérieur de la charpente, et ce qu’elles ne purent brûler entièrement, elles effleurèrent et noircirent tous les bois de la charpente, et firent des troues de distance à autre dans les jointures du plancher.De là sommes descendus, ayant interpellé le citoyen Bordas et Joubert, ouvriers à ladite manufacture, ils n’ont déclaré que le jour de l’incendie, on avoit retiré du globe le biscuit le matin à sept heures, et que le soit à quatre heures on avoit mis sécher du bois dans ledit globe, et que ce ne fut que le soir entre huit et neuf heures qu’ils s’appecurent de l’incendie, qu’on avoit accoutumé d’y mettre ainsi du bois, qu’apparemment le globe se trouva trop chaud et qu’ils ignorent d’ailleurs quel peut en être la cause ; ayant interpellé d’autres personnes voisines, elle ont déclaré ignorer le motif de
[fol. 2]
l’incendie. De tout quoi j’ai fait adresser le présent procès-verbal, pour servir et valoir ce que de droit.Fait audit lieu, lesdits jour, mois et an que dit est.
Dulery commissaire".
[Extraits de la liasse sur les documents concernant la Seynie, AD 87, 1 Q 205].
Courrier d'Étienne Baignol, fermier de la manufacture au Directoire du district de Saint-Yrieix-la-Montagne (1794)
« À Saint-Yrieix-la-Montagne, le 7e floréal deuxième année républicaine
Bagnol, fermier de la fabrique nationale de porcelaine appartenant, cidevant, à Lascéni émigré aux administrateurs du directoire du district de Saint-Yrieix-Lamontagne.
On vient de me prévenir, citoyen adiministrateur, qu’on alloit faire procéder à une nouvelle enchère de la fabrique de porcelaine et moulin en dépendant inséparablement, appartenants, cidevant à Lascéni émigré. Je pourrai vous faire rejetter le prétexte qui provoque cette dernière mesure, en vous produisant des quittances qui pourroient vous désigner le prix de ma ferme : quoique la jouissance ni en parut assurée encore pour quatre ans, je me soumés à tout ce que vous vous proposez de faire par la raison que je ne suis point un ambitieux.Mais, citoyen, je dois vous observer que dans la certitude où j’étois de jouir de toute la durée de mon bail, j’avois fait des approvisionnements de matières [note en marge : tant en pâtes qu’en crue] qui tourneroient en pure perte pour moi si on venoit à me déposséder sans me donner le temps de les consommer. Je joindrai à cette raison, un autre qui est de toute notoriété et pour laquelle je ne crois pas trouver de contradicteur : la pluspart de vous savez qu’au mois de mars 1792 (v.s.) il se manifesta dans la fabrique un incendie qui a entravé pendant longtems ma fabrication qui a exigé des réparations qui ont tirés en longueurs et qui par ce moyen m’ont occasionné des pertes incalculables ; je n’ai pas besoin, citoyen administrateur, de vous rappeller que nous sommes dans le siècle de la justice ; pleinement consaincieux de vos principes et de vos vertus républicaines je demande donc que dans la prochaine adjudication vous m’accordiez un tems moral pour employer et consommer toutes les matières que j’ai en avance ; je vous désignerois moi-même le tems moral mais j’ai assés de délicateurs pour demander que ce tems soit fixé par des commissaires que vous voudrez bien nommer vous-mêmes. Baignol cadet. »À la suite« Copie d’une quittance du sieur Laseinie émigré écrite et signée de sa main.Je soussigné déclare avoir reçu du sieur Baignol la somme de neuf cent pour la première année de la ferme de la manufacture que je lui ai consentie par police d’écriture privée du dix-hui février mil sept cent quatre-vingt-neuf la ditte somme payée d’avance aux termes de la ditte police dont quittance au château du Puy de Bette le premier mai mil sept cent quatre-vingt-neuf signé Laseinie.Vû la pétition des autres parts.Le Directoire, l’agent national entendu, arrête qu’attendu que le pétitionnaire ne justifie pas d’un bail authentique, il sera procédé à l’adjudication d’un nouveau bail afferme de la manufacture de porcelaine et moulin dont sagit, qu’à cet effet il sera fait des affiches et qu’il en sera envoyé des exemplaires suffisants partout où besoin sera.Fait en directoire, séance publique à Saint-Yrieix-Lamontagne, le 7 messidor de l’an 2 de la république française une et indivisible.Pour expédition.
Dulery commissaire »
[Extrait de la liasse sur les documents concernant la Seynie, AD 87, 1 Q 205].
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Extrait du plan cadastral de Saint-Yrieix-la-Perche, section G 1, parcelles 85-88, 1824.
Auteur de l'illustration : Archives départementale de la Haute-Vienne
Extrait du plan cadastral rénové de Saint-Yrieix-la-Perche, section YW, parcelle 27, 1972.
Auteur de l'illustration : Archives départementale de la Haute-Vienne
Plan de la maniufacture de porcelaine de La Seynie, d'après un plan vers 1775 reproduit dans Chavagnac (1906).
Auteur de l'illustration : Grollimund Florian
Projet d'installation d'un casernement à la manufacture de la Seynie, plan du rez-de-chaussée, 1899.
Auteur de l'illustration : Grollimund Florian
Projet d'installation d'un casernement à la manufacture de la Seynie, plan du 1er étage, 1899.
Auteur de l'illustration : Grollimund Florian
L'ancien château et bâtiment de la manufacture, cour et escalier, photographie vers 1950.
Auteur de l'illustration : Grollimund Florian
L'ancien atelier de la manufacture, partie est (modifiée), photographie vers 1950.
Auteur de l'illustration : Grollimund Florian
L'ancien château et bâtiment de la manufacture, cour et aile ouest, photographie vers 1950.
Auteur de l'illustration : Grollimund Florian
L'ancien château et bâtiment de la manufacture, aile est (détruite), photographie vers 1950.
Auteur de l'illustration : Grollimund Florian
Vue aérienne du site de la Seynie après les premiers travaux d'agrandissements, vers 1955.
Auteur de l'illustration : Grollimund Florian
Photographie aérienne du site de La Seynie, 1948 (IGN).
Auteur de l'illustration : Grollimund Florian
Dessin des campagnes de construction (18e-20e siècles) sur fond de photographie aérienne de 2019 (Google).
Auteur de l'illustration : Grollimund Florian
Bâtiment de la manufacture, bâtiment des années 1950 et aile ouest.
Auteur de l'illustration : Grollimund Florian
Bâtiment de la manufacture, aile ouest : détail d'une baie.
Auteur de l'illustration : Rivière Philippe
Bâtiment de la manufacture, bâtiment des années 1950, vue depuis le sud.
Auteur de l'illustration : Rivière Philippe
Bâtiment de la manufacture, bâtiment des années 1950 et ancienne aile est.
Auteur de l'illustration : Rivière Philippe
Ancienne entrée ouest de la manufacture et maison ouvirère (?).
Auteur de l'illustration : Rivière Philippe
Anciennes annexes (?) de la manufacture, vue depuis le sud.
Auteur de l'illustration : Rivière Philippe
Anciennes annexes (?) de la manufacture, vue depuis le nord.
Auteur de l'illustration : Rivière Philippe
Usine PIL (Porcelaines Industrielles du Limousin) des années 1970, façade nord.
Auteur de l'illustration : Rivière Philippe
Usine PIL (Porcelaines Industrielles du Limousin) des années 1970, façade nord, détail.
Auteur de l'illustration : Rivière Philippe
Usine PIL (Porcelaines Industrielles du Limousin) des années 1970, pignons ouest.
Auteur de l'illustration : Rivière Philippe
Bâtiment de la manufacture, cave est : malaxeur à kaolin.
Auteur de l'illustration : Rivière Philippe
Bâtiment de la manufacture, cave est : malaxeur à kaolin.
Auteur de l'illustration : Rivière Philippe
Bâtiment de la manufacture, cave est : emplacements des malaxeurs (?).
Auteur de l'illustration : Rivière Philippe
Bâtiment de la manufacture, étage : porte d'accès à l'ancien escalier de la cour.
Auteur de l'illustration : Rivière Philippe
Bâtiment de la manufacture, étage : détail des baies et renvois de courroie.
Auteur de l'illustration : Grollimund Florian
Bâtiment de la manufacture, étage : anciens séchoirs, vue intérieure.
Auteur de l'illustration : Grollimund Florian
Bâtiment de la manufacture, étage : vestige d'ancien four (?).
Auteur de l'illustration : Rivière Philippe
Bâtiment de la manufacture, chaprente et pignon ouest.
Auteur de l'illustration : Grollimund Florian
Bâtiment de la manufacture, charpente : détail de marquage d'une ferme.
Auteur de l'illustration : Grollimund Florian
Bâtiment de la manufacture, aile est : fenêtre, détail du système d'ouverture.
Auteur de l'illustration : Rivière PhilippeLocalisation
Adresse: Nouvelle-Aquitaine , Haute-Vienne , Saint-Yrieix-la-Perche
Milieu d'implantation: en écart
Lieu-dit/quartier: la Seynie
Cadastre: 1824 G 1 85-88, 1972 YW 27, 2017 YW 186-187 (172-174 : usine actuelle.)
Extrait du plan cadastral de Saint-Yrieix-la-Perche, section G 1, parcelles 85-88, 1824.

Archives départementale de la Haute-Vienne
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Parc naturel régional Périgord-Limousin, (c) Archives départementales de la Haute-Vienne
Extrait du plan cadastral rénové de Saint-Yrieix-la-Perche, section YW, parcelle 27, 1972.

Archives départementale de la Haute-Vienne
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Parc naturel régional Périgord-Limousin, (c) Archives départementales de la Haute-Vienne
Plan de la maniufacture de porcelaine de La Seynie, d'après un plan vers 1775 reproduit dans Chavagnac (1906).

Grollimund Florian
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Parc naturel régional Périgord-Limousin, (c) Gallica.Bnf
Projet d'installation d'un casernement à la manufacture de la Seynie, plan du rez-de-chaussée, 1899.

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(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Parc naturel régional Périgord-Limousin, (c) Archives départementales de la Haute-Vienne
Projet d'installation d'un casernement à la manufacture de la Seynie, plan du 1er étage, 1899.

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(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Parc naturel régional Périgord-Limousin, (c) Archives départementales de la Haute-Vienne
L'ancien château et bâtiment de la manufacture, cour et escalier, photographie vers 1950.

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(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Parc naturel régional Périgord-Limousin
L'ancien atelier de la manufacture, partie est (modifiée), photographie vers 1950.

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(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Parc naturel régional Périgord-Limousin, (c) Archives municipales, Saint-Yrieix-la-Perche
L'ancien château et bâtiment de la manufacture, cour et aile ouest, photographie vers 1950.

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(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Parc naturel régional Périgord-Limousin, (c) Archives municipales, Saint-Yrieix-la-Perche
L'ancien château et bâtiment de la manufacture, aile est (détruite), photographie vers 1950.

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(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Parc naturel régional Périgord-Limousin, (c) Archives municipales, Saint-Yrieix-la-Perche
Vue aérienne du site de la Seynie après les premiers travaux d'agrandissements, vers 1955.

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(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Parc naturel régional Périgord-Limousin
Photographie aérienne du site de La Seynie, 1948 (IGN).

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(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Parc naturel régional Périgord-Limousin, (c) Institut géographique national, Saint-Mandé
Dessin des campagnes de construction (18e-20e siècles) sur fond de photographie aérienne de 2019 (Google).

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(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Parc naturel régional Périgord-Limousin
Vue d'ensemble du site, depuis le sud.

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(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Parc naturel régional Périgord-Limousin
Vue d'ensemble des bâtiments modernes, depuis le sud.

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(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Parc naturel régional Périgord-Limousin
Bâtiment de la manufacture, façade nord.

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Bâtiment de la manufacture, façade nord.

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Bâtiment de la manufacture, bâtiment des années 1950 et aile ouest.

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(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Parc naturel régional Périgord-Limousin
Bâtiment de la manufacture, aile ouest : détail d'une baie.

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Bâtiment de la manufacture, bâtiment des années 1950, vue depuis le sud.

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Bâtiment de la manufacture, bâtiment des années 1950 et ancienne aile est.

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Ateliers ouest.

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Grands ateliers est, façade nord.

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Bâtiment des fours à gaz.

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(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Parc naturel régional Périgord-Limousin
Grands ateliers et dépendances, vue depuis l'est.

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(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Parc naturel régional Périgord-Limousin
Grands ateliers et dépendances, vue depuis l'est.

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(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Parc naturel régional Périgord-Limousin
Grands ateliers, façade sud.

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(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Parc naturel régional Périgord-Limousin
Grands ateliers, annexes au sud.

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Ancienne entrée ouest de la manufacture.

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Ancienne entrée ouest de la manufacture et maison ouvirère (?).

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Maison ouvirère (?).

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Hangars et ateliers.

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Anciennes annexes (?) de la manufacture, vue depuis le sud.

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(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Parc naturel régional Périgord-Limousin
Anciennes annexes (?) de la manufacture, vue depuis le nord.

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(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Parc naturel régional Périgord-Limousin
Usine PIL (Porcelaines Industrielles du Limousin) des années 1970, façade nord.

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Usine PIL (Porcelaines Industrielles du Limousin) des années 1970, façade nord, détail.

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(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Parc naturel régional Périgord-Limousin
Usine PIL (Porcelaines Industrielles du Limousin) des années 1970, pignons ouest.

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Hangars et ateliers, façades nord.

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Bâtiment des années 1990, partie bureaux.

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Bâtiment de la manufacture, entrée de la cave est.

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Bâtiment de la manufacture, cave est : malaxeur à kaolin.

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Bâtiment de la manufacture, cave est : malaxeur à kaolin.

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(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Parc naturel régional Périgord-Limousin
Bâtiment de la manufacture, cave est.

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Bâtiment de la manufacture, cave est : emplacements des malaxeurs (?).

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Bâtiment de la manufacture, rez-de-chaussée : malaxeur.

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Bâtiment de la manufacture, rez-de-chaussée : malaxeur.

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Bâtiment de la manufacture, entrée de la cave est.

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Bâtiment de la manufacture, cave est : voûte.

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Bâtiment de la manufacture, cave est : cuve à fioul.

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Bâtiment de la manufacture, étage : porte d'accès à l'ancien escalier de la cour.

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Bâtiment de la manufacture, étage.

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Bâtiment de la manufacture, étage : détail des baies et renvois de courroie.

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Bâtiment de la manufacture, étage : anciens séchoirs.

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Bâtiment de la manufacture, étage : anciens séchoirs, vue intérieure.

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Bâtiment de la manufacture, étage : vestige d'ancien four (?).

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Bâtiment de la manufacture, chaprente et pignon ouest.

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Bâtiment de la manufacture, charpente.

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Bâtiment de la manufacture, charpente.

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Bâtiment de la manufacture, charpente : détail de marquage d'une ferme.

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Bâtiment de la manufacture, aile est : rayonnages.

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Bâtiment de la manufacture, aile est : fenêtre.

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Bâtiment de la manufacture, aile est : fenêtre.

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Bâtiment de la manufacture, aile est : fenêtre.

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Bâtiment de la manufacture, aile est : fenêtre, détail du système d'ouverture.

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Bâtiment des années 1950 : dépôt.

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Bâtiment des fours à gaz.

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Four à gaz.

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Four à gaz.

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Four à gaz, plaque de constructeur.

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Annexe, charpente : rayonnages.

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Grands ateliers : rez-de-chaussée.

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Grands ateliers : rez-de-chaussée.

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Grands ateliers : rez-de-chaussée, escalier.

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Grands ateliers : étage.

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Grands ateliers : comble.

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Grands ateliers : mur de refend du comble, oculus.

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Bâtiment des fours à gaz : monte-charge.

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Bâtiment des fours à gaz : monte-charge.

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Bâtiment des fours à gaz : monte-charge, détail de la plaque.

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Annexe, rayonnages.

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Caisse PIL.

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Hangars et ateliers nord, rayonnages.

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Atelier d'art.

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Atelier d'art.

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Atelier d'art, four à gaz.

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Atelier d'art, rayonnages.

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(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Parc naturel régional Périgord-Limousin
Atelier d'art, malaxeur.

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Atelier d'art, rayonnages.

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(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Parc naturel régional Périgord-Limousin
Atelier d'art, rayonnages.

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(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Parc naturel régional Périgord-Limousin
Atelier d'art, démoulage d'un biscuit.

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Atelier d'art, démoulage d'un biscuit.

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Atelier d'art, façonnage.

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Bâtiment de la manufacture, étage.

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